LE SOUFFLE A PEINE ECHAPPE
*INTRO SOLO : PIANO.
Ne s’aimer qu’un instant
Mais le graver dans le temps
Garder ta pudeur
Mais t’offrir le bonheur
Accrocher, dans ta chevelure un baiser
Te prendre la main, pour l’éternité
Je t’aime, mais tu ne le sais plus
Dans mes rêves, je t’observe
Mais, tu ne me vois plus
Je t’avoue, un peu plus chaque jour
Le besoin, de ton amour
Mais, tu ne m’entends plus
*REFRAIN X1 :
*C’est le souffle à peine échappé
Les yeux mouillés, les poings serrés
Que je te regarde dormir, dans les bras de ton amant
Dans le même lit, ou nous avons conçus nos enfants
C’est le souffle à peine échappé
La gorge nouée, incapable de crier
Que mon cœur m’oblige, à vous regarder
L’un contre l’autre, batifoler
Au nom de qui, au nom de quoi
J’ai du mal à croire, ce que je vois
Je n’aurais jamais pu imaginer çà, de toi
Toi, la mère de nos enfants, ma femme
Toi, si pure et si belle
Souillée, comme une pute…
Je m’isole dans le passé, par crainte du présent
Je crains le présent, par la peur du temps
Les traits de mon visage vieilli, par cet amour meurtri
Ont complètements détruits, le cours de ma vie
A cause de toi, à cause de lui
Le réveil est brutal, dénué du moindre espoir
*REFRAIN X1 :
*C’est le souffle à peine échappé
Les yeux mouillés, les poings serrés
Que je te regarde dormir, dans les bras de ton amant
Dans le même lit, ou nous avons conçus nos enfants
C’est le souffle à peine échappé
La gorge nouée, incapable de crier
Que mon cœur m’oblige, à vous regarder
L’un contre l’autre, batifoler
Beaucoup recherche encore l’inconnu
L’être qu’ils n’ont jamais connu
Moi, je l’avais tellement désiré
Que j’ai fini par te rencontrer
Et s’est bien toi, qui m’a embrassé
Moi, je n’avais pas osé
Porter par le vent et les serments
Je ne crois plus avoir assez de temps
Pour continuer à souffrir, pour apprendre à tout te dire
Que tu partes, sans revenir…
Ecoute ton cœur, il est plus fort que ce monde hideux
Il aimerait tant pouvoir, t’ouvrir les yeux
*REFRAIN X2 :
*C’est le souffle à peine échappé
Les yeux mouillés, les poings serrés
Que je te regarde dormir, dans les bras de ton amant
Dans le même lit, ou nous avons conçus nos enfants
C’est le souffle à peine échappé
La gorge nouée, incapable de crier
Que mon cœur m’oblige, à vous regarder
L’un contre l’autre, batifoler
*LE FINAL : SOLO PIANO.